Quand j’étais enfant, je rêvais d’écrire. J’avais des histoires plein la tête, une imagination débordante, et ce désir secret de devenir écrivaine. Puis la vie m’a conduite vers une autre voie : celle de l’expertise comptable, avec son exigence de rigueur et de rationalité.
Pendant des années, ce rêve d’enfant est resté en silence. Jusqu’au jour où j’ai dû affronter le dernier rempart de mon diplôme : le mémoire. Là, en rédigeant page après page, j’ai redécouvert le plaisir d’écrire. Je me suis souvenue que les mots pouvaient être plus que des outils techniques : ils pouvaient transmettre, expliquer, inspirer.
Ce mémoire a rouvert une porte longtemps restée fermée. Après le diplôme, je n’ai plus voulu l’enterrer. J’ai commencé à écrire sur tout ce qui m’inspirait : mes valeurs, mes expériences, mes leçons de vie, les récits qui m’ont façonnée, mes racines africaines. Quelques mois plus tard, je me retrouvais devant une véritable collection de livres.
Aujourd’hui, chacun de ces ouvrages raconte une part de ce chemin : les histoires et coloriages pour enfants rappellent l’émerveillement de mes débuts ; les carnets de développement personnel traduisent mes propres quêtes de sérénité ; les guides professionnels prolongent mon expérience d’experte-comptable, en outils utiles pour d’autres.
Tous suivent un même fil : celui de la transmission. Je crois que partager le savoir, les valeurs et les récits, c’est donner une richesse qui ne s’épuise jamais.
Et vous, qu’est-ce qui vous a reconnecté à un rêve d’enfance que vous croyiez perdu ?
Je serais heureuse de lire vos histoires en commentaire.